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La Mariole 2020 MAGNUM

PRODUCTEUR

Ledogar (Domaine)

RÉGION

    occitanie

Pays

France

La Mariole 2020 MAGNUM La Mariole 2020 MAGNUM
Created by potrace 1.15, written by Peter Selinger 2001-2017
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26,54 €
bio
rond & fruité
VIN ROUGE
découverte/original
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La Mariole 2020 MAGNUM

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Caractéristiques

100% Carignan

Vue sur Ferrals depuis la parcelle de "La Mariole"

Vin très peu sulfité, 15 mg/l (7 mg/l en libre), presque un vin sans soufre donc. Nous vous rappelons la dose maximale autorisée : 160 mg/l, la plupart des rouges tournent autour de 90-100 mg/l ! La mention "contient des sulfites" est obligatoire à partir de 10 mg/l. Sachant que les levures peuvent produire naturellemement pendant la fermentation jusqu'à 20 mg/l de SO². Même les vignerons qui travaillent sans soufre ajouté sont obligés de mettre cette mention. De plus, la marge d'erreur des laboratoires pour cette mesure est de +- 10 mg/l alors....

Terroir argilo calcaire et sables éoliens et de grès

Conduite de la vigne : Taille gobelet
Il compose à 100% cette cuvée.

Il fut planté en 1901 sur un site prénommé : « La Mariole »
Vendange manuelle, égrappée, foulée.
Fermentation alcoolique par les levures indigènes.
Elevage : En cuve, bâtonnages sur lies fines, peu de soutirages afin de clarifier le vin.
Divers : Le mode de culture est biologique et la vinification est entièrement naturelle, aucun adjuvant n’est ajouté.

13 % Alc. Vol.

Ecoutons Xavier détailler son parcours professionnel : "Dans ma jeunesse, j’avais un goût certain pour la nature : je pêchais, chassais, me baladais à pieds, en vélo, j’aimais la solitude en plein air.

A l’âge de 12 ans, les jours de vacances, j’accompagnais mon père dans les vignes. J’ai commencé par observer ce qu’il faisait, puis j’effectuais certains travaux « faciles » : Pré-tailler avec ma grand-mère, ramasser des « souquets » et bien sur vendanger en aidant celui qui traînait, et surtout conduire le tracteur ( rêve de tout enfant de vigneron).

Vers 15 ans, j’optais pour des études scientifiques, dans un lycée agricole tout de même. Il faut dire qu’enfermer, le temps me paraissait bien long et bien sur les résultats s’en ressentaient. Après chaque réunion parents-professeurs, je passais mes week-ends à la vigne mais, peu à peu cette punition devint un plaisir, ce que n’appréciaient pas forcément mes parents. Durant les années 80-90, la viticulture était en crise. Mais à mes yeux, les bons cotés du métier l’emportaitent sur cette vie assez difficile.

Malgré les aléas, notamment climatiques, être dehors, libre dans son travail, sans se soucier des horaires me paraissait très avantageux. Au fil des années passées dans ce lycée, côtoyant quelques fils d’agriculteurs, j’appris à aimer le vin. Le plaisir de déguster, de boire, de ressentir ce dont est capable une simple souche me fascinait. Je sentais une passion naître. Restaient à convaincre mes parents. Ils ne semblaient pas d’accord sur cette idée. De temps en temps, je séchais les cours pour travailler les vignes mais après une forte réprimande, mon père me raccompagnait toujours à l'école. Cela dura 4 années, jusqu’au bac. Il me fallait faire quelque chose, ne sait-on jamais : si je venais à le décrocher ? Où allait-on m’envoyer ? Ce jour-là, le temps était magnifique et, oubliant l’examen, me voilà parti à la pêche ! Le soir venu…mes parents ne comprenaient pas ce que je faisais avec un seau de palourdes …! Les explications furent vives et animées. C’est le moment que choisit mon père pour me dire : « Profite de tes vacances car en septembre tu seras aide familial ». Quel bonheur me procurait cette phrase ! Je travaillais donc 3 ou 4 ans avec lui.
Ensuite, nous décidions d’acheter une cave afin de vinifier : simple formalité pour moi, mais mon père voyait son voeu enfin exaucé. C’est le moment que j’ai choisi pour m’installer : 1997. C’est donc là que naquit Grand Lauze .

Maison fondée en 2003

Une des plus large sélections du web de vins d’auteurs et d’artisans

Qu'est-ce qu'un vin d'auteur ?

Celui-ci peut être tellement divers selon la personnalité de leur géniteur, qu'il est plus facile de définir ce qu'il n'est pas. Un vin d'auteur, c'est tout sauf un vin standard, stéréotypé, fait pour plaire au plus grand nombre. Il est donc rarement produit en millions d'exemplaires, se copiant lui-même de millésime en millésime.

Un vin d'auteur, c'est donc un vin qui ne ressemble pas à celui du voisin. Qui d'année en année évoluera en fonction des caprices de la météo et de l'humeur de l'auteur – les deux pouvant être liées. Car l'auteur ne se fie pas à des études de marché pour mener sa barque. Il fait son vin comme il le sent, comme il l'aime, comme il le peut, parfois... Et tant pis s'il ne plaît pas à tous.

C'est pour cela que les vins d'auteur sont parfois classé en « vin de table » ou en « vin de France ». Parce que le vigneron n'a pas planté le cépage autorisé*, fait l'assemblage ou la vinification recommandés dans l'appellation**. Il est souvent un peu rebelle, notre auteur. Mais c'est pour cela qu'on l'aime !... Ceci dit, les vins d'auteur ne sont pas systématiquement marginaux : il sont présents dans la plupart des appellations, et peuvent faire partie de l'élite de celles-ci***. Car ils ne se contentent pas d'avoir de la personnalité : ils sont bons, en plus ! Avec en général un degré de torchabilité très élevé : on ne s'en lasse pas au bout de la première gorgée.

Comme les vins d'auteur ne sont pas chaptalisés, levurés, bidouillés... ils peuvent présenter des profils très différents selon le millésime. À nous (revendeurs et consommateurs) de les accepter comme ils sont, et de rester fidèle aux producteurs, car ils ont besoin de nous pour poursuivre leur activité.

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* Par exemple, le Touriga Nacional dans le Minervois, ou la Syrah en Côtes du Forez. Ils sont fous, ces auteurs !

** Certains vignerons osent produire des liquoreux avec du Mourvèdre ou un pétillant naturel avec du Pineau d'Aunis

*** comme ceux de Jean-François Ganevat dans le Jura ou de Zind-Humbrecht en Alsace

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